Grande statue en bois laqué datant du XIXe siècle, inspirée des représentations du Christ enfant dans la Renaissance italienne. Elle évoque les œuvres d’artistes tels que Donatello, Antonio Rossellino ou les ateliers des della Robbia.
Italie
XIX siècle
Marotte en papier mâché peint polychrome présentant une figure féminine au corsage festonné et coiffée d’un bonnet en tissu satiné d’origine avec une barrette en forme de mouches en verre coloré.
XIX siècle,
France
Huile sur toile représentant un homme lisant un livre dans un intérieur, cadre en bois noirci.
Mode vestimentaire, coupe de cheveux et mobilier sont typiques de l’époque directoire.
Ecole française
Epoque directoire, vers 1795
Paire de lampes en formes de perroquets en faïence craquelée émaillée polychrome montée sur des socles en bronze doré ciselé, dans le goût de Meissen, nouveaux abat-jours en soie doublée de couleur kaki et passementerie Houlès.
Début XX siècle
Martin Drolling (1752-1817), peintre français, s’est fait remarquer pour ses portraits et ses scènes de genre. Inspiré par les maîtres flamands, il maîtrisait l’art de capturer des expressions naturelles et des détails minutieux, comme en témoigne ce portrait d’une grande délicatesse.
Huile sur toile portrait d’Anne-Marie-Louise d’Orléans duchesse de Montpensier (1657-1693), d’après le portrait réalisé par l’atelier de Charles et Henri Beaubrun, vers 1660.
C’est un exemple raffiné de la peinture française du premier tiers du XVIIe siècle. Il présente une femme de haute société, probablement Madame d’Arjuzon, dans une pose élégante et noble, vêtue de riches atours et parée de bijoux somptueux.
Les animaux semblent presque humanisés, certains regardant directement le spectateur, avec des expressions qui dégagent une forme d’intelligence et de sensibilité, ajoutant une dimension poétique à la scène.
École Italienne
Fin XVII- début XVIII siècles
Portrait de la princesse Anne-Géneviève de Bourbon, duchesse de Longueville (1619-1679), fille du prince de Condé et de Charlotte de Montmorency. Huile sur panneau octogonal par Jean Ducayer, peint d’après une œuvre de François Clouet.
Vers 1640
Au XVIII siècle la mode des chinoiseries était particulièrement en vogue dans les cours européennes. Inspirée par les précieuses importations de Chine et du Japon, cette esthétique permettait aux nobles de s’évader dans un monde imaginaire empli de pagodes, de jardins exotiques et de paysages orientaux.