Au XVIII siècle la mode des chinoiseries était particulièrement en vogue dans les cours européennes. Inspirée par les précieuses importations de Chine et du Japon, cette esthétique permettait aux nobles de s’évader dans un monde imaginaire empli de pagodes, de jardins exotiques et de paysages orientaux.
Grand paravent à six feuilles en toile peinte, panneaux décorés d’un motif inspiré de la chinoiserie, comme il était de mode au milieu du XVIII siècle, revers décoré de simples panneaux en trompe l’oeil.
XVIII siècle
France
Paire de bancs coffres en bois polychrome aux motifs de guirlandes de fleurs et de trompe l’oeil, assise ouvrant sur un vaste espace de rangement.
Florence, Italie
XVIII siècle
Suite de six chaises de jardin d’hiver en bois de hêtre à l’imitation de bambou, regarnies à l’ancienne, tapissées de tissus d’Antoinette Poisson dont le motif est une réédition du XVIII siècle, imprimé sur du lin.
Epoque Napoléon III, XIX siècle
France
Table poudreuse de style Transition en bois de chêne avec placage en bois de rose de la famille des meubles volants qui se déplacent assez aisément dans une pièce, tapissée à l’intérieur de papier peint « Antoinette Poisson ».
Vers 1830
France
Vaisselier d’angle à deux corps en bois polychrome sculpté ouvrant sur trois portes pour révéler des étagères.
Suède
XVIII siècle
Paire de fauteuils en bois sculpté doré, tapissés de soie damassée, usures d’usage sur les accoudoirs.
Début XIX siècle
Lucca, Italie
Table de lit ou d’accouchée en placage de bois de rose, la partie supérieure amovible aux bords relevés, la partie inférieure ouvrant par un tiroir, les pieds cambrés.
Epoque Louis XVI, XVIII siècle
France
Table en cabaret en bois laqué, pieds légèrement cambrés, plateau peint en imitation du marbre.
Ce modèle de tables connaît une forte production au XVIIIe siècle. Elles puisent leur inspiration dans les cabarets orientaux importés par les compagnies des Indes depuis le XVIIe siècle : venus de Chine et du Japon.
XVIII siècle
Allemagne